Mission

MISSION

L’AADM est l’union des avocat.e.s de la défense en droit criminel et pénal exerçant leur profession principalement à Montréal, Laval et Longueuil.

L’AADM a vu le jour dans les années 1960, grâce à l’initiative d’un petit groupe de criminalistes qui, malgré leur penchant résolument individualiste, ont réalisé que l’union fait la force.

Depuis, l’AADM n’a cessé de croître. Elle est aujourd’hui un élément important dans le milieu du droit criminel. Elle compte environ 400 membres, incluant des avocat.e.s de pratique privée, des avocat.e.s de l’aide juridique, des stagiaires et des étudiants en droit.

Sa mission comporte deux volets principaux :

  • la défense des intérêts de ses membres
  • la promotion des droits et libertés individuels au sein du système de justice

De plus, l’AADM se veut un instrument de diffusion d’informations juridiques et de formation continue en droit criminel et pénal. Elle organise des activités sociales et récréatives pour développer les liens d’amitié qui unissent ses membres. L’AADM prend part aux débats, tant au niveau judiciaire que politique, qui touchent la justice et le droit criminel.

Dans le même ordre d’idée, l’AADM est représentée au sein du Comité sur l’administration de la justice et du Comité de Liaison avec la Cour municipale de Montréal du Barreau de Montréal. Des membres s’impliquent également auprès de divers comités du Barreau du Québec dont le Comité de pratique privée et le Comité en droit criminel. Elle a des représentant.e.s auprès du Conseil Canadien des Avocats de la Défense.

L’AADM organise diverses activités de formation chaque année, dont son fameux Symposium annuel, lors duquel sont présentées différentes conférences portant sur les développements récents en droit criminel.

Sur le plan social et récréatif, la Soirée Reconnaissance est devenue une tradition de la vie juridique. Lors de cette soirée sont remis les prix Léo-René Maranda, Robert Sacchitelle ainsi que le prix Gabriel Lapointe.

L’AADM est fondée sur un esprit de solidarité, sur une croyance partagée envers des idéals de justice et de liberté, et sur l’amour du droit.